« Questionner, dialoguer, convaincre afin de co-construire une société à la hauteur du dérèglement climatique. »
Climat & Mobilité
Noé travaille principalement sur le suivi de la politique climatique wallonne et belge, en lien avec le cadre européen et international. Pour mettre en place une transition vers une société décarbonée, il travaille plus particulièrement avec les secteurs de l'énergie et de la mobilité. Passionné par les enjeux environnementaux, vous le retrouverez également sur les questions systémiques et les liens entre économie et environnement.
Certaines idées ont la vie dure. Il en va ainsi du mythe selon lequel l'automobiliste serait la « vache à lait » de l'Etat : pressé de taxes multiples et variées, il contribuerait au financement de l’Etat sans « revoir la couleur de son argent » ou, du moins, sans en profiter dans sa dimension de conducteur… Une idée erronée, qui ne résiste pas longtemps à l'analyse des chiffres.
Le dossier "Véhicules électriques ? Changer de mobilité, pas de voiture !->3924]" vient de paraître. Parallèlement à ce dossier, [la Fédération publie une position sur la question. Deux documents à…
L'actualité nous bombarde constamment de chiffres, notamment en matière de budgets. Il est difficile de se faire une idée précise de leur(s) signification(s) et des enjeux réels qu'ils recouvrent sans prendre le minimum recul nécessaire à une mise en perspective. Petit exercice à partir de quatre chiffres récents relatifs à la mobilité en Région wallonne.
La recherche sur la fusion nucléaire coûte cher, très cher. La construction du réacteur expérimental ITER, initialement estimée à 5,9 milliards d'euros, est désormais estimée à plus de 15 milliards d'euros. Ces 27 et 28 juillet, les pays partenaires se réuniront lors d'un conseil extraordinaire à Cadarache[Vous trouverez les résultats de ladite rencontre en lisant [cet article paru sur le site libération.fr ]] pour aborder l'épineuse question du refinancement. L'Europe, dont plus de 60% des budgets de recherche en énergie sont déjà consacrés au nucléaire, est sur le point d'accepter de débourser 4 à 5 milliards de plus que prévu sur ce projet, alors même que sa mise en route effective n'est pas attendue avant plusieurs dizaines d'années.
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